Au cours d’une séance de travail le mardi 6 juillet, le comité exécutif du Réseau des parlementaires africains de lutte contre la corruption (APNAC) a fait l’évaluation de toutes ses activités effectuées depuis janvier 2021 par la section RDC de ce réseau parlementaire.
Pour le député Jean-Pierre Pasizapamba, président de l’APNAC, il était nécessaire de réfléchir sur les réalisations du premier semestre de l’année pour enfin élaborer le calendrier du deuxième semestre.
“Après les activités réalisées depuis le début de l’année 2021, particulièrement l’activité sur le renforcement de capacités de parlementaires, nous avons pensé faire un point d’évaluation. En suite, tracer le calendrier des activités à venir. Je dois vous révéler qu’au niveau de l’APNAC, il y a un travail scientifique qui se fait d’une part, mais aussi il y a des activités propres à la lutte contre la corruption, d’autre part”, a-t-il expliqué.
Hormis les points sus évoqués, plusieurs autres questions ont été passées en revue au cours de cette réunion.
“Nous avons évalué au cours de la réunion du comité exécutif les dossiers de l’Ituri. Les dénonciations faites par les Ituriens sont parvenues au niveau du bureau du réseau. Mais également des dénonciations faites à travers le numéro vert, parce que l’APNAC en dispose depuis une année” a ajouté le président de l’APNAC.
Ainsi pour faire connaître au public le travail que fait l’APNAC, les parlementaires qui ont pris à cette réunion ont proposé qu’un plan média soit élaboré afin que les rapports d’enquêtes et autres documents produits par l’APNAC soient connus du public.
Ceci, afin que la lutte contre la corruption ne soit du ressort des seuls parlementaires, mais plutôt de toute la population qui doit demeurer vigilante.
Sandrine Fundi