Dans une mise au point faite ce mercredi 6 octobre, Denis Kadima via son équipe de communication déclare que la Cenco et l’ECC s’appuient sur des allégations sans preuves pour le clouer au pilori.
“Comment et selon quels critères l’éthique des candidats est-elle mesurée ? Sur base d’allégations d’actes prétendument posés par des tierces personnes ? Il est inacceptable de jeter les pierres à un citoyen et le condamner sans preuve”, lit-on dans la mise au point.
Pour ce spécialiste des questions électorales, il n’est “concerné ni de près ni de loin” par ces allégations. Il serait plutôt victime d’une cabale orchestrée par ses adversaires.
“Nous restons convaincus que le candidat Kadima a été mentionné par ses adversaires dans l’unique but de le discréditer et obtenir sa mise à l’écart de la compétition. Denis Kadima n’est concerné ni de près ni de loin par ces actes ignobles qui, dans tous les cas de figure, n’auraient pas fait prospérer sa candidature”, déclare-t-il.
On rappelle que le secrétaire général de la Cenco, l’abbé Donatien Nshole, est passé le mardi 5 octobre dans un média de la place, où il a expliqué les griefs mis à charge de Denis Kadima, principalement la question d’éthique. Lesquels griefs ont poussé la Cenco et l’ECC à écarter la candidature de Denis Kadima à la présidence de la Ceni.
Dans cette émission dont les extraits ont été partagés dans les réseaux sociaux, l’abbé Nshole a déclaré que les délégués des confessions religieuses avaient avoué avoir été approchés par des personnes proches du pouvoir en place afin qu’ils votent pour Denis Kadima. A croire ce prélat catholique, des sommes colossales et des véhicules avaient été proposés à ces délégués.
BL
