RDC: Jean-Marc Kabund, la « miniature » du « Sphinx de Limete » qui affiche une vision et une approche de gouvernance publique incontestables. »

Depuis son départ de l’UDPS, ses démêlés judiciaires et son incarcération suivie de sa libération, Jean-Marc Kabund a déjoué tous les pronostics dressés contre lui :

▪︎On disait de lui qu’il était « un mauvais gestionnaire de l’UDPS » ; son départ a pourtant révélé le contraire.
▪︎On l’accusait d’avoir « détourné de l’argent pour se construire une villa » ; or, sa résidence à Kingabwa n’a rien d’extraordinaire.
▪︎On affirmait qu’« il était sorti de prison pour être nommé Premier ministre » ; pourtant, après la formation du gouvernement Suminwa II, l’homme est resté en retrait.
▪︎On mettait en doute son niveau d’études ; la soutenance publique de son mémoire en droit international public a clos le débat.

Il s’agissait donc clairement d’une campagne de diabolisation orchestrée par ses détracteurs, pour beaucoup recrutés par milliers au sein de son ancien parti, l’UDPS, dans le but d’entraver son ascension politique.

Ceux qui osent critiquer le président du parti ACH sans l’avoir côtoyé et écouté se privent d’une compréhension essentielle et en porteront la responsabilité.

Le Jean-Marc Kabund que j’ai rencontré, en préparation d’une prise de parole médiatique, est d’une solidité à toute épreuve : moralement, politiquement et intellectuellement.

Son approche de la gouvernance est, à ce jour, inégalée parmi les acteurs politiques de sa génération.

Il m’arrive rarement de publier ce genre de propos. Mais le faire pour lui est une manière, pour moi, de tirer la sonnette d’alarme : la vision et l’approche de Kabund sont salvatrices pour la RDC.

Qu’il s’agisse de l’armée, de la police, des services de sécurité, de l’économie, de la diplomatie ou du social, l’approche de Kabund est porteuse d’espoir. S’il n’occupe pas un jour le fauteuil présidentiel, la RDC ne le pardonnera pas aux Congolais.

L’action politique de Jean-Marc Kabund tire sa principale valeur ajoutée de deux qualités : la fermeté et la rigueur. Le président de l’ACH a hérité ces principes de son mentor, Étienne Tshisekedi Wa Mulumba. Depuis lors, il est resté constant dans ses engagements, en dépit des démêlés judiciaires et politiques auxquels il a dû faire face. Pour l’heure, il demeure, aux yeux de beaucoup, l’héritier politique d’Étienne Tshisekedi, poursuivant sa lutte pour l’avènement d’un véritable État de droit et d’une politique socialiste au sens plein du terme en République Démocratique du Congo.

Ambroise Mamba Ntambwe, Journaliste et chercheur en sciences politiques

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