Martin Fayulu dénonce avec véhémence la répression policière de la marche organisée ce mercredi 15 septembre par Lamuka, dont il est l’un des caciques.
D’après lui, la cour pénale internationale et de la Monusco sont tolérantes à l’égard du pouvoir de Félix Tshisekedi, qui s’illustrerait par la répression des manifestations pacifiques.
“Nous avons tenu de marcher. Nous avons marché. J’ai été brutalisé. La CPI et la Monusco doivent voir ça. Ils sont très tolérants à l’égard de quelqu’un qui n’a pas gagné les élections et qui passe son temps à draguer les jeunes filles. Ils ont peur de quoi ?”, a-t-il déclaré devant la presse, avant d’être escorté par la police.
Il sied de rappeler que cette marche interdite par l’autorité provinciale visait à exiger notamment la dépolitisation de la CENI.
Dostin Eugène Luange